Segoula de Pourim

Les lettres de Pourim sont les mêmes que celle de kippour, car les jours de Pourim et du Taanit d’Esther sont des jours d’allégresses ou les portes du ciel s’ouvrent.

 

Voici les Segoulot tirées du livre Le kav hayashar du Rabbi Yaacov Shimshon Shabtay qui a vécut approximativement de 1700 à 1800 en Italie.

Ces Segoulot sont rapportées au nom du Ben Ish Hai :

 Segoula de Pourim

 

Le jour de Pourim est un jour de segoula car il est mentionné dans le Shir Lamaalot :

"Meayine yavo ezri" : d’où va venir mon aide.

Meayine veut dire « d’où »  mais veut dire également «  porte ».

Une porte qui s’ouvre qu’un seul jour d’ans l’année.  Même le jour de kippour au moment de la Neyila elle ne s’ouvre pas.

C’est uniquement jour de Pourim et le jour du Taanit Esther que D. ouvre cette porte qui s’appelle  « Meayine ».

Donc  le jour de pourim et le jour du Taanit Esther sont des jours de «  Shaat eit ratson », un moment de miséricorde.

 

C’est pour cela que c’est très bien le jour de pourim et le jour du jeune, de ce lever avant le lever du jour de faire :

  • Netilat Yadaim (Se laver les mains)
  • Mettre de l’argent dans une boite de tsedaka
  • Allumer deux bougies d’à peu près 26 heures (le chiffre 26 a son importance), une bougie pour Esther Hamalka  et une autre pour Mordeh’ai Ayehoudi
  • Lire le Tehilim 22
  • Demander une requête à D.

 

Ainsi,  avant le lever du jour jusqu’au lever du soleil, on a le potentiel, la faculté et la possibilité d’annuler de mauvais décrets sur nous et sur tout le peuple d’Israël.

On peut s’en aucun problème retourner se coucher après et peut être fait par les hommes, les femmes ou même les enfants.

 

Avant d’écouter la Meguila le soir comme le matin, il est tres bien de se lever juste avant les bénédictions que récite l’officiant et de ce transformer en réceptacle afin de recevoir les lumières de Mordeh’ai et d’Esther qu’il fait descendre sur terre.

Lorsque cette lumière spirituelle descend sur nous, c’est tres bien de demander à D. une requête.

Ces lumières nous accompagne jusqu’à  l’année suivante et ouvre toutes le portes.

 

Après le jeune et la lecture de la Meguila, c’est très bien de faire un bon repas et donc de dresser une table avec  une nappe blanche et deux bougies classique, une pour Esther Hamalka et une autre pour Mordeh’ai Hayehoudi.

  

Durant le Mishté, le repas de pourim,  mettre une nappe blanche et deux bougies classiques,  une pour Mordeh’ai  et une autre pour Esther Hamalka.

Avant de commencer à manger, il est bon de:

  • Lire le psaume 23
  • Dire 120 fois « Barouh Mordeh’ai Hayehoudi »
  • Dire 24 fois « Berouh’a Esther Hamalka »
  • Demander à D. une requête.

A ce moment la, les portes du ciel sont ouvertes.

 

Tout celui qui tend la main, le jour de pourim, on ne le lui refuse pas.

De la même manière Ashem nous dit : « vous me demander des choses, vous me faites des demandes, moi je vous donnerez ce que vous voulez ! »

 

 Les sages disent : si on savait l’importance que la fête de Pourim est plus importante que kippour  si ce n’est plus,  on serait là entrain de lire des Tehilim et de demander à D. la délivrance, la géoula.

 

Segoula, rapportée par le Rav Atlan, qui amène beaucoup de Brah’a.

 

 Voici la vidéo sur la segoula du Rav Atlan